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Gâteau d’anniversaire Hello Kitty

12 Déc

… ou comment faire plaisir à une petite fille de 2 ans dont la fameuse « Kitty » est le personnage favori (en concurrence avec le non moins célèbre T’choupi…)

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J’ai choisi de faire un moelleux au chocolat dans un moule de 22 cm de diamètre, pour qu’il soit assez haut. Ensuite, je l’ai coupé en 3 pour le garnir d’une mousse au chocolat blanc (une ganache montée) et de framboises fraîches (plus exactement des framboises du jardin congelées cet été).

Pour 8 personnes, il faut :

  • un moelleux au chocolat (recette ici)
  • 150 g de chocolat blanc
  • 25 cl de crème liquide entière
  • des framboises

Faire un moelleux au chocolat en suivant la recette de maman. Réserver.
Dans un saladier, faire fondre (au micro-ondes) 50 g de crème liquide avec le chocolat blanc. Bien mélanger. Une fois que l’ensemble est lisse, ajouter le reste de la crème liquide froide, mélanger, puis mettre au frais quelques heures (idéalement, une nuit). Après ce laps de temps, battre le mélange crème / chocolat au fouet électrique, comme une chantilly. Réserver.
Couper le moelleux au chocolat en 3 épaisseurs. Couvrir la première épaisseur avec la moitié de la ganache montée et la parsemer de framboises. Poser la 2e épaisseur de gâteau au chocolat et répéter l’opération. Recouvrir avec la 3e épaisseur de gâteau.

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Il ne reste plus qu’à le décorer ! 

Pour cela, il m’a fallu :

  • 500 g de pâte à sucre rose pâle (il m’en est resté un peu) pour recouvrir le gâteau
  • un peu de pâte à sucre blanche, rouge, jaune pour les fleurs, faites à l’emporte pièce, et pour la tête d’Hello Kitty, le noeud et sa truffe ;
  • colorant en poudre noir, dilué dans un peu d’eau, pour peindre le contour de la tête d’Hello Kitty, ses yeux et les inscriptions sur le gâteau.

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On voit que la surface du gâteau n'est pas très régulière... j'aurais dû le couper sur quelques millimètres pour égaliser la surface.

On voit que la surface du gâteau n’est pas très régulière… j’aurais dû le couper sur quelques millimètres pour égaliser la surface.

Quelques astuces :

– Pour étaler la pâte à sucre sans qu’elle ne colle, saupoudrer de la maïzena sur le plan de travail et le rouleau à pâtisserie.

– Faire les petits décors d’avance (ici, les fleurs) : comme ils sont secs, ils sont plus faciles à manipuler, notamment pour les coller sur le gâteau.

– Ne pas étaler la pâte à sucre qui va recouvrir le gâteau trop finement, sinon elle va laisser transparaître les irrégularités à la surface du gâteau.

– Pour faire adhérer la pâte à sucre au gâteau sans la tartiner de crème au beurre, utiliser de la confiture (et pas de la confiture de framboise pleine de grains…)

– Préparer le gâteau la veille mais le décorer seulement le jour-même : la pâte à sucre n’aime pas le réfrigérateur, trop humide. J’ai décoré mon gâteau en fin de matinée pour le repas du midi, la pâte a sucre a bien tenu au réfrigérateur pour seulement quelques heures.

Pour faire la tête d’Hello Kitty, j’ai fabriqué un pochoir en imprimant mon motif sur papier que j’ai collé sur du papier transparent, de type rhodoïd (qui ne colle pas à la pâte à sucre).

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Chocolats pralinés feuilletés maison (ou comment tempérer le chocolat)

1 Déc

Cela fait quelque temps que la mode du fait maison prend de l’ampleur et que les kits comprenant livre de recettes et matériel de base fleurissent chez les libraires. A nous les sablés maison qui ressemblent à s’y méprendre aux petit-beurre de notre enfance, les burgers comme aux USA, les macarons dignes de trôner dans les vitrines de chez Ladurée (ou du moins, c’est ce que les photos alléchantes de ces petits coffrets tentent de nous faire croire).  Tout ça a le mérite de faire sensiblement baisser le prix du matériel nécessaire pour réaliser nos envies culinaires. Même le géant-suédois-qui-fait-njut s’est mis à la page : on trouve maintenant des moules à chocolats, avec une raclette, à 3€ (ce n’est pas de la grande qualité, mais pour un premier essai, ça suffit bien). Voilà le résultat de mes premiers essais :

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Les photos ne rendent pas justice au brillant des chocolats… Par contre, on voit bien qu’ils ont quelques petits trous en surface, soit à cause du démoulage  un peu musclé, soit parce que je n’avais pas bien étalé le chocolat au fond des moules (la faute à mon pinceau en silicone, qui n’est pas assez fin, donc imprécis).

Le 2e essai a été plus concluant (j’ai utilisé un pinceau en poils synthétiques plutôt qu’en silicone, mais des moules en silicone, justement). Seul bémol : des moules noirs, pour étaler du chocolat noir, c’est une mauvaise idée…

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On est loin de la perfection, mais on progresse !

Pour une bonne vingtaine de chocolats, il faut : 

  • 200 g de chocolat noir de couverture (je prends du Lindt « L’universel », faute de mieux)
  • 50 g de chocolat au lait de bonne qualité
  • 50 g de praliné (fait maison pour moi)
  • 30 g de crèpes dentelles (gavottes)
  • un thermomètre culinaire (j’utilise le minuteur / thermomètre de chez le Suédois, à 8€)

Etape 1 : le tempérage du chocolat

Pour cette étape, n’utilisez que 120 g de chocolat : le reste servira à faire la base des chocolats, une fois qu’ils auront été fourrés. Il faudra à nouveau faire cette étape du tempérage.

Hachez le chocolat noir (au couteau ou au robot, plus pratique encore). Là, deux possibilités : le faire fondre au bain-marie ou au micro-ondes. J’ai choisi la 2e solution, n’ayant pas de bain-marie dans mes tiroirs.
Faites fondre au micro-ondes, donc, les 2/3 du chocolat haché, par tranches de 10 à 15 secondes en mélangeant bien à chaque fois, jusqu’à obtenir une température entre 50 et 55 °C.
Ensuite, ajoutez le reste du chocolat haché et mélangez bien  pour le faire fondre, puis laissez refroidir à une température de 27-28°C en remuant régulièrement. Ca prend un bon quart d’heure si on laisse refroidir comme ça, mais on peut faire tremper le bol dans un saladier d’eau froide pour accélérer le mouvement.
Enfin, remettez le bol au micro-ondes pour atteindre une température comprise entre 30 et 32°C.

Là, il faut faire vite puisque l’idée est de maintenir le chocolat à cette température le temps de tapisser les moules de chocolat. Pour ce faire, utilisez un pinceau et badigeonnez rapidement (et généreusement, sinon gare aux chocolats à trous) le fond des moules. Faites vite ! Ensuite, utilisez une raclette, ou à défaut une spatule voire un couteau pour racler la surface des moules et faire en sorte que la base des chocolats soit soignée.

Laissez cristalliser le chocolat et, pendant ce temps, préparez le fourrage au praliné.

Etape 2 : le fourrage praliné

Dans un bol, faites fondre le chocolat au lait (sans le faire chauffer trop) avec le praliné (faites le vous-même, c’est très simple, il suffit d’avoir un bon mixeur). Ajoutez les gavottes émiettées et mélangez bien. Laissez refroidir en même temps que le fond des chocolats.
Une fois que le chocolat est cristallisé, remplissez les moules de cette garniture. Laissez un ou deux millimètres en haut des moules pour pouvoir étaler le chocolat qui formera la base des chocolats. Tassez bien la garniture avec une cuillère.

Etape 3 : fermer les chocolats

Avec les 80 g de chocolat restant, reprenez l’étape du tempérage et étalez (proprement !) le chocolat au pinceau sur les moules. Rapidement après étalage, passez la raclette sur les moules pour que la base des chocolats soit bien nette.

NB : Evitez de mettre les chocolats, avant cette étape 3, au frais, en pensant gagner du temps. Si la garniture est trop froide, le chocolat va prendre trop vite lorsque vous allez tenter de l’étaler dessus et le résultat ne sera pas très esthétique. Parole de Cortex, qui vous épargne la vue du dessous de ses chocolats !
Re-NB : Démoulez vos oeuvres avec délicatesse, et évitez de les manipuler avec vos mains pleines de doigts. On met des gants, pour tripoter ces merveilles, sinon ça laisse des traces !

Ces chocolats se conservent à température ambiante. Les gavottes conservent parfaitement leur croustillant, et le chocolat, bien tempéré, reste croquant et brillant. La garniture ne contenant pas de crème, pas de risque de la voir tourner.

Bon courage à ceux qui testeront 🙂 C’est un peu long à faire, mais ça en vaut la peine !

Gnocchi

11 Nov

Une petite recette (piochée chez Chef Nini, m’enfin il semblerait que tous les amateurs de gnocchi aient grosso modo la même) : j’aime beaucoup les gnocchi, pour changer un peu des pâtes et contenter les estomacs réfractaires à la verdure dans l’assiette. Prévoyez tout de même une bonne heure, voire une heure et demie, pour l’intégralité de la recette, cuisson incluse.

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Pour 3 personnes, il faut :

  • 400 g  de pommes de terre à chair ferme
  • 100 g de farine
  • 1 jaune d’oeuf
  • 1/2 càc de sel

Cuire les pommes de terre à l’eau (pas à la vapeur, pour éviter qu’elles soient trop humides). Les éplucher puis les réduire en purée au moulin à légumes ou comme moi, au presse-purée (pas au robot, qui rend la purée élastique, collante… et immangeable). Ajouter la farine, le jaune d’oeuf et le sel puis pétrir jusqu’à ce que la pâte soit lisse, souple mais non collante.
NB : on peut ajouter de la farine si ça colle trop, ce qui a été mon cas.

Diviser la pâte en 4, rouler chaque pâton en un long boudin ; le couper en petit tronçons de 2cm de long. Rouler chaque tronçon en une petite boule et la faire rouler sur le dos d’une fourchette pour y imprimer les stries caractéristiques des gnocchi.

> Suivez le tuto en images de Chef Nini (lien plus haut), c’est très bien expliqué.

Cuire les gnocchi dans une casserole d’eau bouillante salée. Ils sont cuits quand ils remontent à la surface.

Je les ai cuits à la poêle dans un peu de beurre : d’abord, parce que je préfère les gnocchi lorsqu’ils croustillent, et surtout parce que ma pâte était trop collante, et j’ai eu peur que mes gnocchi ne tiennent pas à la cuisson, deviennent trop mous ou s’agglomèrent dans la casserole.

A mi-chemin entre des bukkake udon et des tempura udon (ou presque)

29 Août

Visuellement, ça ressemble. Pour ce qui est du goût, on est plutôt dans le minestrone japonisant, parce que les placards de Cortex sont en pleine pénurie de sauce soja, de dashi, de mirin et autres bidules japonais dont je me sers trois fois l’an (et encore, les années fastes, vu l’amour de monsieur Cortex pour la cuisine nippone).

Voilà la chose (version bukkake udon) :

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La recette n’en est pas vraiment une : c’est un simple bouillon de légumes dans lequel j’ai fait cuire des dés de carottes, des fleurettes de brocoli et du poulet émincé. J’ai ajouté en fin de cuisson mes nouilles déjà presque cuites (il manquait une ou deux minutes de cuisson pour qu’elles soient bien fondantes) et rincées pour éliminer toute la fécule. 2mn de cuisson plus tard, c’était cuit à point.

Avec des tempura de légumes (tempura udon) :

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Pour la pâte à tempura (disons pour 3 personnes), il faut :

  • 100 g de farine
  • 10 cl d’eau bien froide ou d’eau gazeuse (2e solution pour moi)
  • 1 jaune d’oeuf
  • sel, poivre, paprika, gingembre (j’ai mis du curry, faute de mieux dans mes placards)
  • huile

Battre le jaune d’oeuf à la fourchette. Ajouter l’eau gazeuse tout en fouettant, puis la farine et les épices.

NB : mieux vaut éviter de lésiner sur l’assaisonnement, sinon la pâte à beignets est fade.

J’ai trempé quelques fleurettes de brocolis (mauvaise idée, c’est délicieux mais particulièrement indigeste), 3 carottes coupées en lamelles et une demi aubergine taillée en bâtonnets dans la pâte à beignets. Ensuite, j’ai fait frire les beignets à peu près 5mn en retournant à mi-cuisson dans une poêle remplie d’huile bien chaude. Les tempura doivent être bien dorés.

Udon (nouilles japonaises)

27 Août

Cet après-midi, j’ai fait des udon : des nouilles japonaises épaisses et fondantes, presque comme au Japon (en étalant la pâte avec mes blancs petons).

Verdict de monsieur Cortex : « On dirait des vers de terre, c’est pas ragoûtant. »

Ingrat, va.

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Pour ce qui est de la recette, j’ai suivi le conseil de Pich à la fraise (et les proportions données dans sa recette), en regardant cette vidéo.

Sont beaux, mes vers de terre, hein ?

Petits fours « financiers »

9 Août

C’est ainsi que La Maison du Biscuit nomme ses financiers, des petites merveilles au goût addictif, emballées dans une jolie boîte au décor très Belle Epoque.  >>> clic ! <<<

Voici leur descriptif :

Une véritable et délicieuse pâte à financiers, pure amandes, moulée en forme de petits-fours variés, moelleux à souhait (nous nous sommes inspirés pour sa formule d’une recette datant du siècle dernier).

Composition : sucre, blancs d’oeufs, amandes, farine de froment, beurre concentré : 12,8%

J’avais des blancs d’oeufs qui se morfondaient dans le frigo, juste assez pour faire une fournée de financiers à déguster avec mon café (c’est ma petite madeleine à moi !)

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Pour une vingtaine de financiers, il faut :

  • 250 g de sucre
  • 150 g de blancs d’oeufs
  • 150 g de poudre d’amandes
  • 50 g de farine
  • 175 g de beurre (du vrai, sinon adieu le beurre noisette)

On évitera de compter les calories contenues dans l’ensemble de la recette, histoire de ne pas se faire de mal par anticipation. La culpabilité viendra après la dégustation.

Mettre le beurre dans une casserole sur feu doux et laisser fondre puis colorer environ 5 minutes : le beurre doit prendre une jolie couleur noisette (sans pour autant virer au brun : à surveiller).
Pendant ce temps, mélanger le sucre, la poudre d’amandes et la farine. Battre les blancs en neige puis incorporer à la maryse les poudres.
Enfin, ajouter le beurre noisette et mélanger délicatement à la maryse, jusqu’à ce que la pâte soit lisse et homogène.
Verser dans des moules (j’ai pris des moules à mini muffins, sans les remplir entièrement ; une prochaine fois, je les ferai dans les moules un peu  plus petits, des moules à mignardises ou à pop cakes par exemple). Eventuellement, parsemer d’amandes effilées (ou de pralin, d’éclats de pralines roses… ou de tout ce qui vous fera plaisir).
Cuire 10 mn à 200°C : le dessus doit être doré, mais pas trop.
Laisser refroidir dans le moule puis conserver dans une boîte hermétique.

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Un financier bien dodu, un peu moins jaune que ceux de La Maison du Biscuit (mais comment font-ils ?)

15 secondes plus tard, une petite main s'est approchée...

15 secondes plus tard, une petite main s’est approchée…

Tian à la provençale

15 Juil

En ces chaleurs caniculaires, il ne manque plus que les cigales à ma Normandie natale pour que l’on se croie dans le sud de la France. Un tian à la provençale (ou en tout cas un tian qui s’en approche) s’imposait !

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Pour un grand plat à gratin (ou deux petits, dans mon cas), il faut :

  • une petite aubergine
  • une belle courgette
  • deux grosses tomates (coeur-de-boeuf ici)
  • thym (du jardin)
  • huile d’olive
  • parmesan
  • facultatif : une poignée d’oignons émincés surgelés, et un fond de sachet de poivrons en lanières surgelés, parce qu’il me restait de tout ça au congel, mais j’ai aussi fait un petit plat à gratin sans, et c’est très bon aussi

Couper tous les légumes en rondelles, et dans le cas de l’aubergine et des tomates, couper les rondelles en deux. (Verser les légumes surgelés au fond du plat). Disposer les rondelles de courgette et les demi-rondelles des autres légumes en alternance.

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Arroser d’un filer d’huile d’olive (+ sel et poivre). Parsemer de thym frais et de parmesan et enfourner une petite demi heure à 160 / 180°C (le tout étant de ne pas roussir les légumes).

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Voilà un accompagnement tout simple qui sent bon l’été…

Gâteau de pain perdu (© Maman)

30 Mai

Encore un © Maman ! A mi-chemin entre une texture de fondant et de pudding, ce gâteau bien pratique permet de recycler les restes de pain rassis – en l’occurrence, de brioche (maison) qui menaçait de finir fossilisée sur le plan de travail de la cuisine.

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Pour un gâteau (j’ai pu faire un cake + 2 mini cakes, sinon on peut tout mettre dans un moule à manqué), il faut :

  • 220 g de pain rassis (ou de brioche en fin de vie)
  • 100 g de cassonade
  • 3 oeufs
  • 1 sachet de sucre vanillé (pas mis, comme la brioche était déjà sucrée ; j’ai juste mis un peu de vanille en poudre)
  • 75 cl de lait
  • une ou deux pommes, des fruits secs… j’ai mis une pomme et demie et 50 g de pépites de chocolat

Faire chauffer le lait et y faire tremper le pain / la brioche en morceaux. Bien mélanger pour imbiber tous les morceaux.
Dans un bol, fouetter les oeufs et les sucres. Verser ce mélange sur le pain bien imbibé de lait. Ajouter la garniture (pommes coupées en fines lamelles et pépites de chocolat).
Enfourner 45 mn à 180°C et laisser refroidir dans le plat.

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J’adoooooore les sushis !

29 Mai

Une petite pensée émue pour Minus, fraîchement rentrée du Japon, qui a pu déguster des (vrais) sushis par dizaines, et qui m’a donné envie d’en confectionner quelques uns. Evidemment, pas de poisson cru sur mes sushis : mieux vaut être sûr de la fraîcheur du poisson avant de se lancer dans le cru, et il n’y a pas de poissonnier près de chez moi. Le poisson fumé est tout indiqué pour le remplacer.

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Pour une dizaine de sushis, il faut :

  • 125 g de riz rond
  • 1/2 tasse de vinaigre de riz
  • 1 càc bombée de sucre
  • 1/2 càc de sel
  • saumon fumé (pour moi, des petites tranches épaisses marinées aux baies roses)
  • wasabi

Bien rincer le riz à l’eau froide, puis le faire cuire dans environ 2 fois son volume d’eau salée, 5mn à feu vif puis une dizaine de minutes à feu doux, en remuant régulièrement à la cuiller en bois.
Pendant ce temps, faire chauffer le vinaigre de riz, le sucre et le sel, qui doivent être complètement dissous. Laisser refroidir quelques instants.
Une fois l’eau complètement absorbée, verser le riz sur un plat en l’étalant bien. Verser le vinaigre sucré – salé sur le riz (il n’est pas forcément nécessaire de tout mettre : l’idée est d’imbiber le riz, pas de le noyer, il doit rester relativement collant). Mélanger à la cuiller en bois (ou avec des baguettes, à la japonaise – les courageux pourront même l’éventer pour le faire refroidir, oui oui oui ! ).
Une fois le riz refroidi, façonner des petites boules et les aplatir pour leur donner la forme traditionnelle des sushis. Ou mieux : utiliser des moules à sushis !
Déposer sur chaque boule de riz un peu de wasabi, puis un morceau de saumon. On peut décorer le tout avec du nori (l’algue séchée qui sert également à façonner les makis).
Réserver au frais puis servir avec de la sauce soja.

Ravioles au poulet et persil

24 Mai

J’ai investi dans un petit moule à ravioles en métal, qui permet de les confectionner par plaques, à la manière des ravioles de Romans. La pâte peut se faire au thermomix, comme ici, ou à la main (mais c’est plus long !)

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Pour 4 plaques de ravioles (soit pour 4 personnes), il faut :

  • Pour la pâte : 250 g de farine, 80 ml d’eau froide, 1 oeuf, sel.
  • Pour la farce : environ 200 g de poulet, quelques branches de persil, 2 petits-suisses (0% possible !)

Préparer la pâte :
Mélanger la farine et le sel. Battre l’oeuf en omelette et l’ajouter à la farine. Ajouter enfin l’eau et pétrir longuement afin d’obtenir une pâte lisse et souple. Laisser reposer 30mn

Ou… tout mettre dans le bol du thermomix et pétrir 2 à 3 mn.

Préparer la farce : mixer tous les ingrédients.

Séparer la pâte en 8 morceaux et les étaler finement au rouleau.

Pour le montage :
Placer une plaque sur le moule à ravioles. Déposer une petite quantité de farce sur chaque empreinte (pour simplifier la chose, j’ai mis la farce dans une poche à douille). Recouvrir d’une 2e plaque de pâte et souder le tout en passant le rouleau à pâtisserie sur la pâte. Réserver les plaques en les farinant, pour éviter qu’elles ne se collent les unes aux autres (ce qui m’est arrivé, d’où l’absence de photo où elles sont cuites).

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Faire cuire les ravioles dans une casserole d’eau bouillante salée : elles sont cuites lorsqu’elles remontent à la surface.

Servir sans attendre (avec de la sauce tomate, dans un bouillon, pourquoi pas gratinées au four… les possibilités sont vastes !)